Marques & Tongs n'aurait pas laissé passer l'occasion d'une petite sélection - forcément subjective - de quelques-unes des plus belles réalisations en ligne de marques pour Noël.
C'est avec grand plaisir que nous vous l'offrons donc !
Vous pourrez la retrouver sur le blog des Editions Dunod, Marketing Community.
Et l'on vous souhaite un très joyeux Noël, toujours plus Marques, encore plus Tongs... et à l'année prochaine pour de nouvelles aventures !
Comme on s'y attendait, le célèbre fabricant de meubles au design low-cost suédois vient de se lancer dans le brand content avec cette websérie "pas comme les autres", évidemment...
Une ligne éditoriale souhaitée ? "Njut" toujours, c'est à dire s'émerveiller, profiter, d'amuser, délirer, improviser...
Le décor ? On ne pouvait rêver mieux que les magasins Ikea eux-mêmes.
Le pitch ? Pas super compréhensible de prime abord, mais l'idée est de filmer en caméra cachée des comédiens issus de la Ligue d'Improvisation, lesquels interagissent avec des vrais clients qui se promènent dans les différents univers : salon, bureau, cuisine etc. Selon Ikea, il s'agit de "la première websérie totalement improvisée en magasins".
Les thématiques ? Là aussi, va falloir débroussailler un peu l'affaire mais on sait déjà que "Njut en série" propose 3 épisodes: "La presque belle-famille", "The Boulette Company" et "On n'a peur de rien" comme autant de galeries de personnages et de situations variées. D'autres suivront certainement pour exploiter au mieux les univers de la marque.
Le dispositif ? "Njut en série" est visible tous les mercredi exclusivement sur le site dédié Njut.fr et Ikea.fr (+autres partenariats avec YouTube et Beezeek.com) On ne doute pas que le concept sera largement relayé en ligne.
On a en revanche encore un petit doute sur le côté (vraiment) drôle de la chose et le dispositif aurait sans doute mérité un volet participatif (gagnez une participation au tournage) et un autre e ou m-commerce (retrouvez les meubles de l'épisode X en ligne ou sur mobile).
Et vous, ça vous plaît ?
Aperçu avec le premier épisode "La presque belle-famille" :
C'est sur la côte californienne que la fameuse saga Lady Dior - rebaptisée L.A.dy Dior pour l'occasion - fait escale pour cette 6è étape après Paris, New-York, Londres, Shangaï et Moscou.
A la réalisation de ce nouveau mini-film sous le soleil de Los Angeles, John Cameron Mitchell - qui avait déjà réalisé l'épisode londonien - semble apporter à la série un petit grain de folie teinté d'humour et de dérision dont elle manquait peut-être... Pour cet épisode hollywoodien, le réalisateur anglais signe en effet une comédie dont l'héroïne - ultra-star de cinéma - semble quelque peu dépassée par un shooting photo. L'inspiration du réalisateur ? Un court-métrage "très drôle" - selon ses termes - de Richard Avedon dans lequel jouait Lauren Hutton.
Nouvelle destination mais toujours la même égérie : la sublime Marion Cotillard qui semble prendre beaucoup de plaisir à jouer les divas.
Une petite idée de ce qui nous attend demain, avec le teaser mis en ligne par Dior sur son compte YouTube :
Et le making-off & coulisses du tournage. En images et en mots, l'intention du réalisateur, la belle actrice française à ses cotés :
Ce qu'il y a de réjouissant avec le contenu de marque - ou brand content pour reprendre l'anglicisme parfois un peu chahuté - c'est la découverte, chemin faisant, de quelques pépites. De celles qui vous font rire et sourire. Vous émeuvent. Parlent à votre cerveau droit. Joliment réalisées, esthétiquement parfaites et en adéquation avec la plateforme de la marque, pensée telle une simple et très juste extension de celle-ci.
Sous aucun prétexte donc, vous ne manquerez de visionner cette websérie réalisée pour une enseigne US multi-points de vente - The Art of Shaving, réseau de boutiques autour du rasage, vous l'aurez compris - diffusée via un site dédié et une extension social média (Facebook notamment) riches en contenus et idées pertinentes liés concept créatif de ce programme.
Pour toute femme qui se respecte, entrer via The Brotherhood of Shaving dans les coulisses du rasage des hommes - et quels hommes, pardonnez-moi... et quelle réalisation ! -, c'est comment dire : totalement super tentant !
Voilà voilà, le coup de coeur de la semaine va donc à cette série de 7 mini-films autour de l'art du rasage... hum hum plus honnêtement au 7 acteurs de la série ;-).
Un coup de chapeau également à la réalisation, so chic et glamour, à l'écriture et aux scénarios bien pensés qui permettent à la marque d'aller raconter une véritable histoire (7 personnages comme autant de façons de se raser le matin...) et de déployer de façon pertinente et classe, son contenu de marque et évidemment de présenter son offre produits sous un angle very attractive.
Pour vous mettre en haleine, voire l'eau à la bouche, voici les deux premières minutes et cinquante cinq secondes du programme, épisode 1. Son héros, j'ai dit héros oui... ? The Gentleman Shaver.
C'est en mode chic et glamour que Longchamp a choisi d'offrir à sa marque une belle visibilité en ligne avec le lancement il y a quelques jours de sa websérie en 7 épisodes "Heels".
Les ingrédients d'une jolie réussite ?
- Un partenariat bien senti avec aufeminin.com la plateforme féminine en ligne la plus populaire en Europe. Côté visibilité, c'est gagné. Côté crédibilité également avec une vraie page dédiée à la série et un contenu pertinent qui propose de revoir les épisodes, leur résumé, détaille les personnages, les looks et même un "bonus" sous forme de fond d'écran à télécharger. So glam'.
- Heels, c'est avant tout une histoire. De filles, certes, mais une histoire quand même. Le pitch ? Alice Valois contre Trisha Barton + la rédaction d'un mag mode ultra branché et tout le wording qui va avec (front row, trendy, it machin it truc et j'en passe...). Rivalité féminine, Mode, Paris & New York, les hommes et autres sujets girlie : les épisodes passent en revue tous ces thèmes si "affinitaires" avec la cible choisie.
- Une très belle réalisation esthétique et visuelle du projet, parfaitement en ligne avec le positionnement de Longchamp et le choix de ses égéries (Kate Moss, Audrey Marnay...). Une ode à l'élégance, à la féminité. De la prescription de tendance, en somme. Aux commandes, The Makers Entertainment.
- Un parti pris de réalisation original et pertinent : celui de ne montrer aucun visage pour laisser nos regards de fashionistas glisser sur les accessoires de la marque, sacrément bien mis en valeur, dites donc. Ces talons de 15, on les veut, jambes de Trisha or not jambes de Trisha...
- Un dispositif social média malin et pertinent : sur Facebook, les fans de Longchamp retrouvent les épisodes de la série et participent à un jeu-concours pour gagner les tenues des héroïnes qui se crêpent le chignon. Alors, plutôt Alice ou Trisha ?
Un aperçu de Heels ? Jetez un oeil au teaser. Et vous ne quitterez plus vos talons, Mesdames Mesdemoiselles... ;-)
Vous êtes ici sur une belle et censée campagne digitale autour de l'art de recevoir, à la parisienne ultra-select, selon les co-fondateurs du Baron, mais pas que... A l'actif d'André et Lionel, ces hôtes créatifs et stylés, le Paris-Paris, l'Hôtel Amour notamment et d'autres concepts trendy-nocturnes à travers le monde, là où est le beau monde (si tant est qu'on se mette ok sur la définition... bref.).
Alors, l'histoire sur le site dédié de la campagne - bien nommé artofhosting, et là on pense forcément au mythique artofthetrench by Burberrys - se déroule en 7 films racontant chacun les ingrédients du succès d'une soirée réussie (le lieux, les invités, le décor, la boisson et la musique) et mettant en scène la vie & l'oeuvre de l'über-bobo duo d'entrepreneurs.
A découvrir également sur le site, une playlist musicale Le Baron spécialement dédiée à Chivas et une bouteille collector du whisky 12 ans d'âge "Chivas & Le Baron". Un co-branding bien ficelé par l'agence The:Hours.
C'est avec une grande curiosité que je suis la communication de la marque Sephora, et pour cause, elle fut un sacré sujet d'étude de plan de communication l'an dernier au cours de mon Executive MBA au Celsa. Une étude de cas qui nous avait à l'époque valu de pousser la porte du sympathique brand manager de la marque, Rémi Guigou.
Lequel présente le 24 novembre prochain, lors de la soirée ChinaConnectInTheCity, avec son producteur, Alexis de Gemini et Laure de Carayon, les coulisses et un retour d'expérience du programme de divertissement TV chinois diffusé de juillet à septembre 2011, Beauty Academy, dont Sephora est le principal sponsor.
Une émission de télé-réalité brand-contentée à souhait pour le distributeur mondial de cosmétiques, filiale de LVMH, aux 20 millions de votants qui soutiennent les 12 meilleurs candidates, aspirant à devenir l'égérie de Sephora sur le continent asiatique. Un programme sous forme de parcours autour de la beauté (maquillage, coiffure etc.) et des rencontres avec les plus grands créateurs de beauté, tourné à Paris, ville de la du glamour par excellence, et dont les vidéos sont disponibles ici (et bon courage avec les idéogrammes, hein...).
Pour le lancement de cette nouvelle marque mobile 100% digitale - dont les visuels de campagne sont d'ailleurs plein de fraîcheur et d'enthousiasme - James a imaginé un hommage à la danse, toutes les formes de danse. Sept danseurs, "comme autant d'univers, de pays, de styles, d'âges et de personnalités" composent la mélodie vidéo du réalisateur. Amateurs et professionnels composent un casting réalisé en ligne sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et le petit qui monte en France Instagram) en septembre dernier.
Un projet participatif en mode brand content qui ressemble bien à Sosh, telle qu'elle se décrit : "digitale, communautaire, libre et décalée". Pour Orange, marque-mère, la collaboration avec un blogueur-artiste était évidente. Elle en préfigure d'autres, sur le terrain de l'art et du design, en mode mécénat ou sponsoring.
Filmé aux Beaux-Arts de Paris avec un rendu en slow motion, le résultat ne se fait pas attendre : il est sublime ! Du rythme, une belle montée en puissance, de la sensualité bien captée. 3 minutes et 48 secondes de célébration d'une danse sous (presque) toutes ses formes et variétés, dans la beauté du geste et du mouvement.
C'est une belle histoire de son histoire que LVMH veut raconter ce week-end à tous ses adeptes à l'occasion d'une so chic et légitime opération "portes ouvertes" en France et en Europe dans 25 de ses maisons de luxe. L'objectif de cette campagne savamment storytellée ? Nourrir l'image patrimoniale du groupe de Bernard Arnault, récemment malmenée lors de sa prise de participation "olé-olé" au capital d'Hermès, lequel communique également sur le terrain du savoir-faire et de l'artisanat pour vanter les mérites de ses produits et services de luxe.
Bref, LVMH veut raconter son patrimoine et le plan médias déployé depuis le 20 juin dernier couvre aussi bien l'affichage, que la presse et le web, notamment via une page Facebook LVMH sur laquelle la marque converse avec son public (plus de 40 000 fans). Au manoeuvres de l'opération, le groupe Havas et ses diverses filiales de communication.
Vous avez toujours rêvé de pousser les portes du joaillier Chaumet place Vendôme, celles des ateliers haute-couture de Dior, pénétrer les mythiques caves Veuve-Clicquot Ponsardin, Krug et celles du château d'Yquem, tout savoir sur les secrets de fabrication du bottier d'exception Berluti, visiter la villa Granaiolo d'Emilio Pucci en Toscane voire entrer dans les coulisses de la Grande Epicerie de Paris ou mieux si vous avez des enfants, ceux du Jardin d'Acclimatation ?
Vous voulez tout savoir sur les techniques d'ébauchage, d'abarchage, d'emmaillement, lozinage et autres joyeusetés lexicales ?
Les 15 et 16 octobre seront l'occasion ou jamais d'entrer dans les coulisses de ces maisons où tradition, perfection, talent, racines, excellence portent bien leur nom.
Cette opération événementielle d'envergure sous forme de parcours imaginés par 25 des maisons du groupe LVMH - qui compte des animations, expositions et rencontres avec les divers corps de métiers - est notamment relayée en ligne via un site dédié (www.lesjourneesparticulieres.fr) avec toutes les infos sur le programme, des belles photos et une jolie vidéo :
L'Eclat du jour que nous promet Clarins, c'est pas tous les jours dans la vraie vie ! Alors, pour nous y aider en musique, la marque a imaginé un petit dispositif très sympa sur Deezer. La cible ? Les jeunes filles de 18 à 30 ans pour promouvoir la gamme jeune façon "my first Clarins".
Une opé pas bien compliquée pour le neurone chiffonné du matin, la Wakeup Radio by Eclat du Jour nous propose - selon l'humeur du jour : paresseuse, sensuelle ou énergique - de choisir parmi trois playlists de chanteuses bien trendy - Imany, Nili ou L - celle qui convient le mieux à nos goûts musicaux du matin.
En prime, un code promo permet aux utilisatrices de la page d'obtenir une miniature maquillage et des frais de livraison offerts pour tout achat, ou comment mixer promo, musique, soin du visage à la sauce brand content pour un résultat façon "ah oui, c'est une bonne idée, ça !".
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