James Bort est un faiseur d'images que j'ai eu la chance de rencontrer il y a deux ans environ, pour un projet mettant en relief son activité de "gentleman photographer" dans les coulisses de la mode et du luxe.
Plus que photographe, l'homme sait capter les instants, figer les regards, rendre l'émotion et surtout réaliser un jeu de lumières où fluidité et transparence se mêlent à précision et nuances de couleurs. Il y aurait beaucoup à dire sur ce qu'inspire son travail et ses réalisations tant photo que vidéo. Pour cela, je vous laisse visiter son blog et découvrir ses portraits.
Il y a quelques mois, James avait réalisé le sublime mini-film "Danse(s)" pour Sosh. Faiseur d'images pour Baccarat par ailleurs, il avait notamment réalisé de non moins réussis reportage photo et film vidéo à la Cristallerie, là où sont façonnées, soufflées ces pièces d'exception, en cristal. Pour la même enseigne, le voilà aujourd'hui réalisateur en mode "carte blanche" d'un mini-film avec animations à l'occasion du lancement de la nouvelle collection de verres oenologiques Château Baccarat.
Le pitch ? Une mise en scène poétique et enivrante de l'explosion de couleurs et de saveurs exacerbée par ces verres.
Un conte qu'on se raconte aux airs de la Traviata...
Rhabillée en rose, noir et blanc par Lagerfeld, puis rouge et noir par Diane Von Furstenberg ces dernier mois, la petite bouteille de soda préférée des filles passe à la marinière, au tatouage et à la lingerie en mode brand content avec le nouveau "directeur artistique" de la marque, le pétillant Jean-Paul Gaultier. Les fashionistas sont prévenues : les bouteilles Night, Day et Tattoo sortent dès le mois d'avril en édition limitée !
Premier support de cette campagne publicitaire : le print avec des visuels optimistes et plein d'humour où les photos des visages de JP Gaultier se superposent à ceux des mannequins. Un bel effet visuel chic & girlie signé Stéphane Sednaoui.
Sur le web, la campagne prend une bien belle et pertinente dimension avec "The Serial Designer" une mini-série en 3 volets, dont JP Gaultier est le héros, tour à tour coach personnel, psy et serial designer avec les poupées-égéries de la marque.
De l'humour, de la légèreté, le tout saupoudré d'une touche de glamour chic : et si c'était ça, la recette de Coca-Cola Light ?
"Indispensable et totalement irrésistible", La Petite Robe Noire est la dernière création parfumée de Guerlain. Du chic et du glamour revendiqué pour séduire les jeunes femmes, notamment en ligne avec un dispositif classique mais bien pensé via un mini site dédié où la nouvelle création se dévoile en textes, illustrations et vidéo à travers des rubriques simples et efficaces, avec un jeu-quizz permettant de gagner un flacon personnalisé à son nom. On dira pas non !
La publicité - diffusée en ligne et à la TV - raconte en rose et noir et sur un air de Nancy Sinatra l'histoire d'un flacon aux effluves de "cerise noire, bergamote, amande exquise et fruits rouges savoureux" le tout saupoudré de notes de réglisse et thé noir fumé. Une composition façon "secrets de fabrication" révélés par le créateur du parfum, en images et en noir et blanc :
Pour parfaire le tout, les fans de cette toute nouvelle toute belle fragrance, retrouveront sur Facebook la page dédiée à La Petite Robe Noire (pas encore en mode Timeline) avec toutes les infos, actus et autres conversations parfumées. Près de 1400 fans suivent déjà le flacon de Guerlain.
Quant à la publicité, douce et rock à la fois, la voici la voilà :
"Entre rêve et réalité", trois minutes trente de pure merveille signé Cartier sont en ligne depuis quelques jours et sur les écrans télé du monde entier cette semaine. A l'affiche de cette sublime réalisation signée Bruno Aveillan, la panthère, égérie incontestée de la marque que l'on suit à travers son périple autour du monde, de Saint Pétersbourg à Paris, en passant par la Muraille de Chine et l'Inde des Maharajas.
L'"Odyssée de Cartier", un mini-film exigeant et parfait, à l'image sans doute d'une marque qui réaffirme ici son savoir-faire, son souci du détail dans la beauté d'un geste élégant et raffiné, puisant également dans ses racines l'inspiration de ce mini-film haut de gamme.
Voilà quelques mois maintenant que Dior utilise le média digital pour raconter des histoires, son histoire et mettre à l'oeuvre autant d'artistes, réalisateurs et d'égéries que la palette de ses produits le lui permet. On a ainsi vu à l'oeuvre depuis 2009 une Marion Cotillard, héroïne d'une e-saga internationale dédié au sac Lady Dior, quelques clips ludiques côté cosmétiques, un mini-site dédié aux réalisations vidéos de Dior, un mini-site des backstages make-up des défilés, le tout en mode créatif respectant les codes d'un luxe que la marque défend et revendique.
Forte de désormais 7 millions de fans sur Facebook et de 320 000 followers sur Twitter, Dior se laisse tenter par une expérience digitale plus complète et pertinente avec le lancement de Dior Mag, un e-magazine dédié à la marque, son actualité, ses coulisses et son contenu sous toutes formes et supports digitaux possibles et imaginables. Les objectifs ? Raconter toujours et encore l'histoire d'une marque qui véhicule l'élégance, l'excellence et le luxe à la française.
Un e-magazine qui sera bientôt décliné en versions mobiles pour iPad et iPhone.
"Nulle par ailleurs, vous ne trouverez de telles exclusivités" promet dans un très joli édito la rédaction en chef de ce nouvel e-magazine dédié à l'univers Dior. Prêt pour l'exploration ?
Je ne sais pas vous, mais moi quand on me parle d'amour et de rencontres, j'y associe direct une part de rêve et d'émotion. Une évidence forgée de bon sens, un "parle à mon coeur plutôt qu'à mon cerveau". Une évidence que je partage avec moi, merci, et qui ne semble clairement pas être celle du leader de la rencontre en ligne et de son agence.
J'ai suivi avec attention comment Meetic allait se repositionner et reprendre la parole. Et pour commencer il y a quelques semaines avec le film de Maïwenn Le Besco, réalisation et illustration plutôt réussie du nouveau positionnement de la marque façon "Meetic est un mode de rencontre aussi évident et naturel que les modes de rencontres quotidiens".
C'est là où j'ai commencé à faire "mouais, faut voir". Postionnement logique, certes, qui désacralise un mode de rencontre aujourd'hui démocratisé et dépoussière le bon vieux Chasseur Français, à l'heure d'un amour plus dans le pré que jamais...
Du positionnement découle la signature et là, on me dit de "voir plus grand pour mes rencontres". Ah. Bon. Pas plus convaincue que ça, je pense à tous ces célibs qui vont se demander pourquoi Meetic leur explique que jusque là, ils voyaient trop petit. C'est fragile et susceptible, un célibataire, quand même...
Et nous voilà aujourd'hui avec la campagne print.
Et là, je reste quasi sans voix. On peut m'expliquer comment je fantasmerais devant des affiches froides, sans âme ni couleur, aux promesses fades et convenues ? Solos, vous voilà bien barrés : rien en vue dans le métro, pas plus qu'au boulot et encore moins dans le quartier... On peut me dire où est l'envie, la petite flamme, les papillons dans le ventre, le coeur qui bat, les jambes qui flageolent ? Dites, on parle bien d'amour, là ???
Ce qui me titille dans cette affaire, c'est un magnifique potentiel non exploité par la marque. Un terrain de jeu d'une évidence rare... Comment Meetic peut-il passer à côté d'une si belle opportunité de communiquer sur ce qui fait sa raison d'être ? L'amour et toutes les émotions, les sensations qu'il procure ? Comment Meetic en oublie-t-il qu'une belle et émouvante campagne - liée à un positionnement moins rationnel mais plus légitime - serait le parfait point de départ d'un contenu de marque à développer en affinité avec ce public si spécifique de "chercheurs d'amour" ?
J'avais travaillé la question il y a quelques mois, ayant déjà bondi sur le fait que Meetic parlait quand même plus à la raison qu'à l'émotion des célibataires. J'étais partie de l'idée que Meetic n'était pas dans une problématique de notoriété, mais plutôt de recrutement voire de fidélisation. Autre axe : relier les chansons / artistes "mythiques" au nom de la marque. L'intention ? Laisser la petite musique de l'amour se balader en chacun de nous à la vue de ces affiches, y associer des souvenirs et sensations...
Un travail perso, textuel et visuel, dont je vous livre ici les grandes lignes. N'étant pas du tout publicitaire, il n'y a pas d'autre prétention ni intention que cette envie de partage. Qu'on se le dise !
Mais moi, les chansons d'amour, Cabrel, ah lala.... Bref. ;-)
Une petite bulle d’air frais, un instant d’enthousiasme, un joli moment suspendu, une envolée souriante… Partant de l’équation simple que « vous + un saut = une photo », « Art of the Jump » est un tout nouveau site web de partage de photos de sauts en ligne, mêlant créativité et bonne humeur.
Il faut toujours viser la lune car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
L’inspiration Dans les années 60, le photographe américain Philippe Halsman repérait déjà les bienfaits de « jumper » devant l’objectif. L’idée semble légère… Elle révèle cependant la capacité de chacun à se laisser aller au bonheur, enfantin et libérateur, du saut. Les photos réalisées sont aussi surprenantes que révélatrices. Elles débordent d’énergie et d’optimisme.
Le dispositif « Art of the Jump », c’est un site web www.artofthejump.com - destiné aux internautes comme vous comme moi - où visualiser et envoyer des photos de « jumps » en quelques clics. C’est aussi une page Facebook pour retrouver et liker les meilleurs clichés, et découvrir l’univers du projet, telle une dose quotidienne de vitamines sur son mur. C’est également un compte Twitter et enfin une page Pinterest – le réseau social d’images qui monte, qui monte… - où sont épinglés sur un tableau de liège virtuel les sauts les plus créatifs.
Les petits plus… Imaginé et réalisé par l’Agence de brand content Marques & Tongs, « Art of the Jump » souhaite promouvoir l’idée d’une communication digitale créative, (re)bondissante et toujours plus « smile making », sa marque de fabrique. Si le projet s’adresse aux internautes, il répond également aux annonceurs qui cherchent à faire prendre de la hauteur créative à leur marque ou leur entreprise. Photos d’équipes, campagnes événementielles sur-mesure, « Jumps Spots Tour » : les occasions ne manquent pas de s’envoyer en l’air !
En 2012, les belles marques semblent déterminées à dire non à la sinistrose. Alors qu'un vent de fraîcheur soufflait déjà sur bon nombre de réalisations publicitaires on et offline l'an dernier, la tendance "Happy Marques" paraît se confirmer en ce début d'année 2012.
Dior, Chanel, Givenchy, Longchamp, Prada, Lanvin : les moues boudeuses de mannequins dépressifs et mal nourris d'antan laissent aujourd'hui la place à des égéries chantantes et dansantes, sous la houlette de réalisateurs talentueux, huppés et audacieux. Le sourire et le rire sont de retour sur les visuels et les films publicitaires. Le mouvement a pris la place d'une immobilité censée "déifier" sans doute les modèles d'un luxe aujourd'hui dépassé. Les (belles) marques ne feraient-elles pas là le pari enthousiaste d'une communication pétillante à l'optimisme contagieux ? Revue en images de leur #smilemaking publicitaire on et offline.
Entrez dans la danse...
Parmi les premières marques à être entrées en scène, Air France a livré en septembre dernier une poétique et envoûtante campagne publicitaire institutionnelle multi-supports signée Angelin Prejljocaj, sur le thème de "L'envol", répondant en écho au slogan "Faire du ciel le plus bel endroit de la terre". Benjamin Millepied et Virginie Caussin dansent sur un miroir de 400m2 dans le désert marocain, en un seul plan séquence et sans effets spéciaux. C'est juste là et c'est juste beau :
Marques & Tongs parlait récemment de ce "mouvement créatif" duquel s'est inspiré Longchamp pour sa dernière campagne signée "Danser sa vie". La femme Longchamp ? Belle, libre de ses envies et de ses choix, elle sourit à la vie, la colore et la danse. Les visuels colorés et élégants traduisent cette intention en images.
Active, urbaine, pleine d'humour et d'audace, inspirée et inspirante, la voici filmée par l'éclectique et talentueuse chorégraphe Blanca Li, dans les rues de New-York, vedette d'un film décalé et impertinent "Oh! My Dog".
Danse toujours du côté du lancement du parfum "Diane" de Diane de Furstenberg en octobre dernier. Une belle idée créative, colorée et pleine de pêche : un flashmob réunissant 70 danseuses - dont Diane herself - lookés en "wrap dress" se dirigeant vers le flagship de Sephora sur les Champs Elysées en une chorégraphie stylée. En images, hop hop, "be the woman you want to be" :
C'est une égérie pétillante et débordante d'énergie que Prada a choisi en 2011 pour représenter son parfum Candy pour les jeunes femmes. A l'opposé des habituelles campagnes lisses et lass(ant)es, la marque avait choisi l'impertinence et l'audace avec une Léa Seydoux emportant son prof de piano dans une danse endiablée et sans ménagement. Un parti pris audacieux et décalé, sans aucune fausse note ! Et franchement drôle.
Chanel faisait le pari pour sa part en septembre dernier d'une Shade Parade, mise en musique et en danse façon cabaret de sa nouvelle collection de vernis à ongles, autrement appelée "fingers-chorégraphie", menée par Aline Bonetto aidée de Jean-Pierre Jeunet, sur une chanson de Frankie Lymon & The Teenagers...
Au même moment, Lanvin lançait sa très réussie campagne automne-hiver 2011, réalisée par Steven Meisel, où ces fameux mannequins hommes et femmes imperturbables d'ordinaires, se déhanchent en duo devant nous, public internaute médusé mais franchement amusé... d'autant que la fin du film laisse entrevoir un Albert Elbaz lui aussi gagné par la fièvre de I know you want me du rappeur américain Pitbull.
Une envie de swing toujours chez Lanvin exprimée dans sa vitrine du 22 rue du Faubourg Saint Honoré lors des dernières fêtes de Noël, transformée en dance-floor chic et coloré pour l'occasion. In the mood for moove !
Chez Jean-Paul Gaultier, même parti-pris original et décalé, en mode flamenco olé pour le lancement de son parfum Kokorico. Fun et envoûtant.
C'est tout en élégance et en raffinement que Cartier a choisi de promouvoir sa dernière fragrance. Un Baiser Volé qui tournoie et valse, sans grande prise de risque mais avec une efficacité certaine et une petite part de rêve et d'émotion... Les prises de vue ? Au magique Grand Palais parisien.
Et lorsque - à l'occasion du lancement la sa nouvelle marque mobile 100% digitale - Sosh donne carte blanche à James Bort pour réaliser un film autour de la danse, cela donne de la fraîcheur, de l'enthousiasme et au final un superbe hommage à la danse, aux danses rendu par des amateurs et des pros castés sur les réseaux sociaux par James Bort.
Un hommage à 100 ans de danses en autant de styles et 100 secondes : tel est le concept créatif imaginé pour l'ouverture du centre commercial Westfield en 2011. Un film bien pensé et réalisé, qui donne une fois de plus la bougeotte.
Mise en Musique...
Alors que la relation marques-musique semble s'étoffer de jour en jour en plusieurs volets et en un partenariat gagnant-gagnant, les marques de luxe ont joué ces derniers mois les premiers accords d'une mélodie promise à un bel avenir.
Parmi les premières à faire chanter et danser leurs égéries-mannequins sur des compositions trendy et branchées en 2010, on retrouve Dior et sa saga de mini-films dédiés au sac Lady Dior. A New- York, Marion Cotillard est une Lady Rouge qui interprète en exclu The Eye of Mars du groupe Franz Ferdinand. C'est rock, c'est red, c'est chic et ça envoie !
Ce mois-ci, c'est Liv Tyler à qui Givenchy a confié un micro pour la promo de son dernier parfum Very Irresistible Givenchy, voix d'un duo avec David Andrew, leader et producteur du groupe TV On The Radio. En mode rock, ambiance du tournage entre un studio parisien et LA :
Au même moment, Lancôme dévoile une toute nouvelle campagne musicale dédiée à sa collection de lipsticks Rouge in Love pour la Saint Valentin. Point de gnagnanteries, c'est aux Brigitte que la marque a confié la ré-écriture de leur tube "Oh lala", customisé spécialement pour elle. C'est frais, tendance, glamour et chic.
Let's Game !
Jeux-vidéos, tours de magie et autres démonstrations de finger-skating : les marques de luxe - particulièrement les cosmétiques - ont investi un terrain sacrément ludique ces derniers mois. Un pari réussi pour la plupart de ces campagnes à la réalisation soignée et enlevée.
Hermès donnait le ton en 2010 avec Take a Ride, une vidéo de finger-skating avec une campagne digitale virale mêlant grande Maison de luxe et cour d'école. La marque du Faubourg Saint Honoré a ainsi mis en images le parcours d'un mini-skate, naviguant entre, sur, sous... des produits choisis Hermès. C'est orange, c'est cuir et papier et la magie opère !
Ultra-réussi également, le mini-film réalisé par Chanel pour le lancement de son site Chanel Make Up Confidential. Quand des produits de maquillage s'animent façon robot, c'est plein d'humour et d'énergie, sans faire perdre à la marque son aura légendaire.
Même son de cloche chez Dior en janvier 2012 avec un très ludique et réussi Dior Magic Show mêlant palettes de maquillage et prestidigitation sur fond noir.
De quoi faire oublier le pas top top Dior Games lancé par la marque, un brin cheap dans la réalisation malgré une belle idée créative autour de la "revisite" des jeux vidéos à travers les produits de maquillage Christian Dior.
Une femme belle, une femme libre de ses envies et de ses choix, une femme qui sourit à la vie, la colore et la danse : tel est le nouvel axe de communication 2012 du maroquinier français, tel un pied de nez à la morosité, la fin du monde et la crise qui n'en finit plus...
Un "mouvement créateur" en guise de virage à 180° pour la marque, qui se passera désormais d'égéries célèbres au profit d'une "femme Longchamp", active et urbaine, pleine d'humour et d'audace, inspirée et inspirante et plus féminine que jamais, tel que nous le laissait déjà entrevoir le websérie Heels, co-brandée avec aufeminin.com, dont Marques & Tongs parlait il y a quelques semaines.
Un nouveau positionnement renforcé par le mécénat culturel par Longchamp de l'expo "Danser sa vie" au Centre Georges Pompidou jusqu'au 2 avril. Pertinent et cohérent avec la nouvelle signature de la marque, dévoilée tout récemment : "Danser sa vie" dont les visuels
A ne pas manquer non plus le très créatif et visuel mini-film publicitaire "Oh ! my Dog" avec Coco Rocha et un très stylé - et remuant ! - Braque de Weimar au co-starring. Aux manettes de la réal de ce film et des visuels de la campagne shootés à New-York ? Blanca Li - danseuse, chorégraphe, réalisatrice etc. - dont le talent irradie cette belle campagne.
Marques & Tongs se réjouit de voir l'année bien commencer pour le contenu de marque et ses initiatives créatives et fraîches. Pour ce premier billet de l'année 2012 - et le bientôt 500è de ce blog -, deux petites trouvailles en vidéo dénichées sur mon fil d'actualité Twitter (@brandinmotion et @darkplanneur).
Un premier court-métrage pour le magazine Jalouse signé Matthew Frost et co-écrit avec Fabien Prade met en scène la journée d'une it-girl, jolie comme un coeur. Le pitch ? Une fille comme les autres... ou presque. Son secret qui fait grincer des dents sa voisine ? On vous laisse le découvrir à la fin de cette vidéo pleine d'humour. Un exercice assez périlleux que ce ton "décalé", mais vraiment bien réussi. Un petit film pas comme les autres, inspiré et inspirant. On vous laisse apprécier :
Second choix de ce début d'année : la petite histoire du chausseur à semelles rouges parmi les plus adulés de la planète mode. Louboutin himself. Un film d'animation drôle et sympa, très ludique, comme la marque aime à se raconter. M&T avait déjà eu un coup de coeur pour le site web du créateur il y a quelques mois. "I want to make beautiful shoes" nous dit le futur chausseur. Comment petit Louboutin est-il devenu grand ? Quelles sont ses rencontres prestigieuses ? Allez donc voir tout ça, ici, en rouge, noir et blanc. So classe !
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