Voilà quelques mois maintenant que Dior utilise le média digital pour raconter des histoires, son histoire et mettre à l'oeuvre autant d'artistes, réalisateurs et d'égéries que la palette de ses produits le lui permet. On a ainsi vu à l'oeuvre depuis 2009 une Marion Cotillard, héroïne d'une e-saga internationale dédié au sac Lady Dior, quelques clips ludiques côté cosmétiques, un mini-site dédié aux réalisations vidéos de Dior, un mini-site des backstages make-up des défilés, le tout en mode créatif respectant les codes d'un luxe que la marque défend et revendique.
Forte de désormais 7 millions de fans sur Facebook et de 320 000 followers sur Twitter, Dior se laisse tenter par une expérience digitale plus complète et pertinente avec le lancement de Dior Mag, un e-magazine dédié à la marque, son actualité, ses coulisses et son contenu sous toutes formes et supports digitaux possibles et imaginables. Les objectifs ? Raconter toujours et encore l'histoire d'une marque qui véhicule l'élégance, l'excellence et le luxe à la française.
Un e-magazine qui sera bientôt décliné en versions mobiles pour iPad et iPhone.
"Nulle par ailleurs, vous ne trouverez de telles exclusivités" promet dans un très joli édito la rédaction en chef de ce nouvel e-magazine dédié à l'univers Dior. Prêt pour l'exploration ?
Je ne sais pas vous, mais moi quand on me parle d'amour et de rencontres, j'y associe direct une part de rêve et d'émotion. Une évidence forgée de bon sens, un "parle à mon coeur plutôt qu'à mon cerveau". Une évidence que je partage avec moi, merci, et qui ne semble clairement pas être celle du leader de la rencontre en ligne et de son agence.
J'ai suivi avec attention comment Meetic allait se repositionner et reprendre la parole. Et pour commencer il y a quelques semaines avec le film de Maïwenn Le Besco, réalisation et illustration plutôt réussie du nouveau positionnement de la marque façon "Meetic est un mode de rencontre aussi évident et naturel que les modes de rencontres quotidiens".
C'est là où j'ai commencé à faire "mouais, faut voir". Postionnement logique, certes, qui désacralise un mode de rencontre aujourd'hui démocratisé et dépoussière le bon vieux Chasseur Français, à l'heure d'un amour plus dans le pré que jamais...
Du positionnement découle la signature et là, on me dit de "voir plus grand pour mes rencontres". Ah. Bon. Pas plus convaincue que ça, je pense à tous ces célibs qui vont se demander pourquoi Meetic leur explique que jusque là, ils voyaient trop petit. C'est fragile et susceptible, un célibataire, quand même...
Et nous voilà aujourd'hui avec la campagne print.
Et là, je reste quasi sans voix. On peut m'expliquer comment je fantasmerais devant des affiches froides, sans âme ni couleur, aux promesses fades et convenues ? Solos, vous voilà bien barrés : rien en vue dans le métro, pas plus qu'au boulot et encore moins dans le quartier... On peut me dire où est l'envie, la petite flamme, les papillons dans le ventre, le coeur qui bat, les jambes qui flageolent ? Dites, on parle bien d'amour, là ???
Ce qui me titille dans cette affaire, c'est un magnifique potentiel non exploité par la marque. Un terrain de jeu d'une évidence rare... Comment Meetic peut-il passer à côté d'une si belle opportunité de communiquer sur ce qui fait sa raison d'être ? L'amour et toutes les émotions, les sensations qu'il procure ? Comment Meetic en oublie-t-il qu'une belle et émouvante campagne - liée à un positionnement moins rationnel mais plus légitime - serait le parfait point de départ d'un contenu de marque à développer en affinité avec ce public si spécifique de "chercheurs d'amour" ?
J'avais travaillé la question il y a quelques mois, ayant déjà bondi sur le fait que Meetic parlait quand même plus à la raison qu'à l'émotion des célibataires. J'étais partie de l'idée que Meetic n'était pas dans une problématique de notoriété, mais plutôt de recrutement voire de fidélisation. Autre axe : relier les chansons / artistes "mythiques" au nom de la marque. L'intention ? Laisser la petite musique de l'amour se balader en chacun de nous à la vue de ces affiches, y associer des souvenirs et sensations...
Un travail perso, textuel et visuel, dont je vous livre ici les grandes lignes. N'étant pas du tout publicitaire, il n'y a pas d'autre prétention ni intention que cette envie de partage. Qu'on se le dise !
Mais moi, les chansons d'amour, Cabrel, ah lala.... Bref. ;-)
Une petite bulle d’air frais, un instant d’enthousiasme, un joli moment suspendu, une envolée souriante… Partant de l’équation simple que « vous + un saut = une photo », « Art of the Jump » est un tout nouveau site web de partage de photos de sauts en ligne, mêlant créativité et bonne humeur.
Il faut toujours viser la lune car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
L’inspiration Dans les années 60, le photographe américain Philippe Halsman repérait déjà les bienfaits de « jumper » devant l’objectif. L’idée semble légère… Elle révèle cependant la capacité de chacun à se laisser aller au bonheur, enfantin et libérateur, du saut. Les photos réalisées sont aussi surprenantes que révélatrices. Elles débordent d’énergie et d’optimisme.
Le dispositif « Art of the Jump », c’est un site web www.artofthejump.com - destiné aux internautes comme vous comme moi - où visualiser et envoyer des photos de « jumps » en quelques clics. C’est aussi une page Facebook pour retrouver et liker les meilleurs clichés, et découvrir l’univers du projet, telle une dose quotidienne de vitamines sur son mur. C’est également un compte Twitter et enfin une page Pinterest – le réseau social d’images qui monte, qui monte… - où sont épinglés sur un tableau de liège virtuel les sauts les plus créatifs.
Les petits plus… Imaginé et réalisé par l’Agence de brand content Marques & Tongs, « Art of the Jump » souhaite promouvoir l’idée d’une communication digitale créative, (re)bondissante et toujours plus « smile making », sa marque de fabrique. Si le projet s’adresse aux internautes, il répond également aux annonceurs qui cherchent à faire prendre de la hauteur créative à leur marque ou leur entreprise. Photos d’équipes, campagnes événementielles sur-mesure, « Jumps Spots Tour » : les occasions ne manquent pas de s’envoyer en l’air !
Les commentaires récents