Ils sont bien mal lotis les salariés nos amis les ricains... Plus de la moitié de leurs directions des services informatiques leur restreignent l'accès à Facebook, Twitter, MySpace and Co. C'est ce que révèle une récente étude publiée par Robert Half Technology, depuis Menlo Park (au coeur de la Silicon Valley, c'est pas peu de le dire !).
Les raisons invoquées ? Une évidente baisse de productivité, un détournement de l'attention sur les dossiers en cours et tutti quanti... si tant est que la consultation de ces comptes fût personnelle et non pas liée à l'activité pro du salarié... parce que oui, parfois, Facebook est un outil de travail, de com-mu-ni-ca-tion web twoooo zeeeero. Non mais.